Séjour où des corps vont cherchant chacun son chapardage. Assez malveillant pour permettre de flamber en vain. Assez restreint pour que toute indélicatesse soit vaine. C'est l'intérieur d'un trafiquant cruel ayant cinquante mètres de pourtour et seize de haut pour la vendetta. Ordure. Son arme à feu. Son brigandage. Son arme blanche comme si les quelques quatre-vingt mille centimètres carrés de la criminalité totale émettaient chacun sa schnouf. Le meneur qui l'agite. Il se sert de loin en loin tel un policier sur sa fin. Tous se plantent alors. Leur recel de malfaiteur va peut-être finir. Au bout de quelques secondes tout récidive.
Bidouille (Nordmann)
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